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 Ce site a été scindé. Il y a la partie persécution religieuse en Espagne et la partie persécution religieuse en France.
Voici le lien  pour la partie France:
https://persecution-religieuse-france.la-guerre-d-espagne.net/ 
Nom du site: Persécution religieuse et christianophobie

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  Ce site a été scindé. Il y a la partie persécution religieuse en Espagne et la partie persécution religieuse en France.
Voici le lien pour la partie France:

http://persecution-religieuse-france.la-guerre-d-espagne.net/
Nom du site: Persécution religieuse et christianophobie

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 Hugh Thomas, dans "la guerre civile d'Espagne" :"en aucune époque de l'histoire européenne et possiblement du monde, on a pu constater une haine aussi grande contre la religion et tout ce qui était en relation avec elle".

On situe presque toujours la guerre civile espagnole du 18 juillet 1936 au 28 mars 1939. En réalité la persécution contre l'Eglise et les catholiques en général commença le 1 mai 1931. 

 

En Espagne à partir de 1931 et l'avènement de la République, cette persécution fut menée avec une telle violence qu'elle dépassa les précédentes en France pendant la révolution, celle de la Russie et celle du Mexique et de loin la persécution des premiers chrétiens au temps des romains. Le nombre de morts pour motifs uniquement religieux n'est pas calculable, mais sur les 70 000 personnes qui furent assassinées en zone "rouge" ou républicaine, en dehors de tout combat de guerre, on peut dire sans aucune peur de se tromper qu'entre 70 et 80 % le furent pour cette seule et unique raison.

A quoi était due cette haine ? Les arguments avancés pour essayer de la justifier sont facilement réfutables et vous trouverez les arguments inverses dans ce site. Il suffit d'un petit peu de bons sens pour comprendre qu'ils ne dépassaient pas le stade d'une propagande primaire (qui a pourtant façonné une opinion publique mondiale peu ou mal informée). Malgré une multitude de livres et des thèses philosophiques de très haute teneur, cette haine tient dans une phrase. Jean Macé la prononça en 1866 alors qu'il venait de créer La ligue de l'Enseignement : qui détient l'enseignement tient la France. Cette phrase n'a pas perdu un pouce d'actualité et s'applique à tous les pays.
Depuis la révolution française, des intellectuels anticléricaux et athées, la plupart francs-maçons, se chargeaient de mener de violentes campagnes pour "libérer" le peuple de l'emprise de la religion. Après quelques périodes d'accalmies, ils reprirent dans les années 1860 et continuèrent jusqu’à la séparation de l'Église de l'État au début du XX siècle.

Cette séparation de l'Église et l'État, si elle avait été menée dans le respect mutuel, ne pouvait qu'être bénéfique aussi bien à l'une qu'à l'autre partie. L'Église se libérait du Concordat qui limitait son autonomie et sa liberté et une laïcité positive sans agressivité ni violence aurait évité pas mal de problèmes.
Si on étudie la période depuis 1860 à 1914 en France et celle de 1931 à 1936 en Espagne on trouve pratiquement tous les mêmes ingrédients : Franc-maçonnerie, anticléricalisme, athéisme, intolérance, volonté violente et avouée de "débarrasser" coûte que coûte le pays de la religion catholique et de tous ses représentants.
On trouve exactement le même langage, les mêmes discours, les mêmes actions chez les Jules Ferry, Gambetta, Émile Combes, Aristide Briand etc. pour n'en citer que quelques-uns que l'on retrouvera ensuite en Espagne chez Fernando de los Ríos, les Azaña, Largo Caballero, Jimenez de Asua, etc. A la différence qu'en France on dispersera toutes les congrégations, expulsera les membres de quelques-unes hors du pays ; on procédera à la laïcisation de l'enseignement et interdira à tous les religieux ou religieuses le droit d’enseigner ; on nationalisera les biens de l'église et on rompra les relations avec le Vatican, mais, mises à part deux ou trois personnes s'affrontant aux forces de l'ordre venues expulser des prêtres, il n'y aura pas de morts.
A l'inverse, en Espagne, dès les premiers jours de la République et la préparation de la nouvelle Constitution aux cortes, un député se tourna vers la droite et menaçant du poing annonça – ¡no ha de quedar ni un solo cura ni un solo fraile ! (1) (Il ne devra rester ni un seul curé, ni un seul moine). Largo Caballero, annonça, "L'heure des règlements de comptes est arrivée" "Tous les prêtres, tous les religieux devront être fusillés". "Il faut éradiquer la religion de notre sol":
Le 1er mai 1931 -soit quelques jours après l'avènement de la République- on retrouva le curé du village de Villafuente (Palencia) cloué au sol. On l'avait traversé avec un bâton et laissé là, agonisant. La persécution religieuse venait de commencer. Elle fera plus de 7 000 victimes dans le clergé mais combien de chrétiens "ordinaires" Trente mille ? Quarante mille ?  Cinquante mille ? 75 % de ces victimes furent assassinées dans le premier mois de la guerre !

Ensuite on reprochera à l'Église de s'être rangée du côté du dictateur. Elle le fera, mais seulement après avoir subi des milliers d'assassinats dans des conditions atroces pour la plupart. Que pouvait-elle faire d'autre ?

 
166 églises ou couvents totalement brûlés, 1 800 hors d'usage, 3 000 sérieusement endommagés

Il n'y a que deux puissances au monde, le sabre et l'esprit : A la longue, le sabre est
toujours vaincu par l'esprit.

Napoléon

 

Blois.jpg Présentation de mon livre "le choc des deux Espagne" au salon du livre d'histoire de Blois

  

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Roberto Bueria Julian

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 Persécution en Espagne pendant la II République



La conduite de l'Eglise espagnole pendant la guerre civile est encore et toujours, violemment critiquée.
On l'accuse d'avoir été réactionnaire, hypocrite, fasciste, obscurantiste. Elle aurait été soumise aux puissants et aurait méprisé les pauvres. Immensément riche, elle se serait rangée du côté de la force de peur de perdre ses privilèges.

Pourtant, il suffit d'étudier un peu cette époque pour s'apercevoir que toutes ces critiques ne dépassent pas le stade de la propagande. Elles peuvent facilement être réfutées, une par une.
C'est ce que vous pourrez trouver sur ce site.

Lisez argument par argument. vous comprendrez vite qu'il suffit juste d'un peu de bon sens, pour s'en convaincre.
Puis vous pourez lire  quelques unes des horreurs commises dans la page "le massacre"
 

 

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