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le génocide vendéen - Génocide et mémoricide

 

 

 LE PREMIER GENOCIDE DE NOTRE TEMPS

 La Vendée.

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La Vendée comprenait un territoire entre la Sèvre niortaise et la Loire, l’océan et Layon

Je voudrais faire connaître ici les travaux de Reynald Secher : Vendée du génocide au mémoricide.
Je m’en fais un devoir d’autant plus que l’on trouve quelques similitudes entre les victimes de la Guerre de Vendée et les victimes chrétiennes de la guerre civile espagnole.

Ce livre de Reynald Secher devrait être lu principalement par tous les français, mais aussi par le monde entier. Il devrait tout logiquement figurer dans les programmes scolaires. Au lieu de cela il est contesté, voire vilipendé, par une catégorie d’idéologues qui refuse de reconnaître l’évidence et les preuves les plus irréfutables. Une fois encore l’Histoire nous a été enseignée d’une façon partiale et «on» nous nous a fait retenir de la Révolution Française que la partie positive : En gros, la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Droits que ces "repreneurs" furent les premiers à bafouer sans aucune honte.
Reynald Secher, nous apporte les preuves que ces horribles massacres constituèrent un génocide décidé par le Comité de salut public. Puis, que le silence historique de ces faits n’est pas un déni de mémoire "pur" comme nous pourrions croire, mais un "mémoricide" savamment orchestré par les responsables eux-mêmes, relayés par des historiens idéologues qui refusent de voir les preuves les plus formelles .

Petite parenthèse : Il a été dit que l’Histoire ne se répète pas. C’est faux ! Elle se répète continuellement. En Vendée, une fois encore les chrétiens en ont été les principales victimes du massacre comme ils le furent pendant la première partie de la guerre civile d’Espagne.
En plus, ce génocide des Vendéens servira de modèle pour les génocides celui des arméniens, du communisme, du nazisme et d’autres
Dans la préface du livre, Gilles-William Goldnadel, emploie une phrase qui pourrait s’adapter comme un gant à la guerre d’Espagne. Seul le mot Vendée est à échangé par Espagne et elle prend tout son sens. Le sens de la Vérité qui n’est pas la même pour tout le monde :
- Pourquoi personne ne s’est posé la question de la véritable nature de ce qui s’est passé en Vendée (ou Espagne).
Là, pour moi, est le scandale, un scandale incroyable. Et au-delà, pourquoi un tel silence ? Pire, pourquoi une telle inversion des faits qui entraîne que les bourreaux deviennent les victimes et les victimes les bourreaux, y compris au niveau des descendants des victimes…….-

La même chose se passe en Espagne avec les descendants des 8000 personnes  sorties des prisons, assassinées et jetées dans des fosses communes de paracuellos del Jarama, Aravaca et Torrejon de Ardoz. Exemple le témoignage d'une femme qui disait : Il a fallu que j'atteigne l'âge de 74 ans pour qu'on me dise que mon père en faisait partie...... les bourreaux deviennent les victimes et les victimes les bourreaux !!!!!!!!

Reynald Secher ajoute quelques paragraphes qui corroborent cette situation :
-De 1792 à 1794, nous retrouvons une situation similaire en Espagne républicaine entre 1931 et 1936. Les brimades, les destructions d’édifices religieux, les "exécutions" des statues du Christ, de la vierge et des saints, les actes outrageants comme le sac des cimetières et des sépultures –notamment celles de religieuses soumises, entre autres, à des sévices sexuels publics-, les violences continues et les assassinats gratuits à l’encontre des catholiques ne pouvaient que provoquer une réactions de la part des persécutés qui sont allés chercher secours auprès de l’Eglise et de l’armée…. Ces réactions correspondent à un reflexe humain. Relisons Edmund Burke et ses "réflexions sur la révolution en France". Grâce à une fine analyse des événements, il avait tiré la conclusion que la révolution en marche, en raison de ses caractéristiques, ne pouvait que se terminer par une réaction violente de la part des opprimés déclenchant une confrontation brutale et sanglante qui se prolongerait par une guerre civile et se conclurait par une dictature…..-

Il y eut entre 170 000 morts et 200 000 morts, (hors faits de guerre,  victimes de la répression) en Vendée, révoltés, entre autres, parce qu’on voulait les empêcher de croire.
En Espagne, les républicains assassinèrent 70 000 personnes. On peut affirmer, sans aucune exagération qu’entre 70 et 80 % furent massacrés (dans les tous premiers mois de la guerre) uniquement parce qu’ils étaient catholiques. On prétend maintenant que l’Eglise devrait demander pardon. Pardon de quoi ? Le catholique devrait-il s’excuser de s’être trouvée dans la trajectoire des balles ? De ne pas avoir eu le cou suffisamment résistant pour résister au couteau qui l’égorgeait ? Les religieuses, violées collectivement, auraient-elles dû remercier leurs violeurs pour leur avoir procuré du plaisir avant de mourir?............
Fin de la parenthèse

Pour en revenir a la Vendée, Reynald Secher, regroupe les deux courants de pensées. Premièrement, celui des "Blancs" qui attire l’attention sur la férocité de la répression de 1793-1794 et deuxièmement, celui des "Bleus" qui disent privilégier les archives et s’interdisent toute évocation du ressenti des républicains. Les "papiers" que Secher a retrouvés dans les archives nationales lui ont permis de réunir l’un et l’autre dans un même ouvrage. Il ne peut plus avoir de contestation. Il ne peut plus avoir une quelconque justification ! Et pourtant il y en a encore qui en trouve.

Alors que le terme "populicide", utilisé dès l’origine par Gracchus Babeuf, est presque accepté par les républicains contemporains, l’emploi du mot "génocide", qui convient davantage à ce massacre systématique, est vivement attaqué. Cette fois, Reynald Secher a de quoi étayer sa thèse: celle d’un "génocide par la loi". Il a découvert et dépouillé des «petits papiers» conservés aux Archives de France, des billets écrits par les artisans de la Terreur.
On découvre, retrouve, ou constate que les soi-disant "auteurs" de droits de l’homme , ont été les premiers à les bafouer de la façon la plus abominable. Puis Secher démontre ensuite qu’après le génocide il y a "Mémoricide" :
Le terme "génocide" est justifié dans sa définition?: l’extermination physique, intentionnelle, systématique et programmée d’un groupe humain, en raison de ses appartenances ethniques et/ou religieuses. Reynald Secher.

-"Le mémoricide agit dans le temps et dans l'après-coup du génocide sur les descendants des victimes. Son premier effet est d'empêcher que soient constituées et donc reconnues comme victimes les personnes ayant souffert de quelque manière que ce soit de ce génocide. Pire, pour effacer le génocide, les bourreaux et leurs partisans font disparaître les victimes qui n'existent plus en tant que telles mais réapparaissent sous les traits de coupables puis, en une inversion perverse, sous ceux de bourreaux. Ainsi, en niant l'existence d’une victime et d'un bourreau, le mémoricide nie même l'existence de la victime : pas de victime, pas de crime. Les descendants des Vendéens ne peuvent donc prétendre être des descendants de génocidés et donc faire reconnaître aux yeux de tous le caractère spécifique du crime qu'ils ont subi comme les dommages psychiques que celui-ci entraîne chez eux, encore à l'heure actuelle.
Cette inversion des victimes en bourreaux qui deviennent, en ce cas, bourreaux des bourreaux n'est possible que par une manipulation qui prend naissance au moment même des événements. Dans ce cadre, les bourreaux et leurs héritiers inversent l'origine des faits qui ne se situe plus dans l'agres¬sion de l'État à l'encontre de la population locale, mais dans une prétendue agression de l'Etat par cette population locale. En conséquence, l'État central n'aurait fait que se défendre, réaction d'autant plus justifiée que les Vendéens sont assimilés à des traîtres puisqu'ils se rebellaient contre la République, favorisant ainsi le jeu de l'étranger contre lequel la France était en guerre.
C'est une des "démonstrations" de Gaston Martin, docteur ès lettres, radical-socialiste et franc-maçon comme il se présente lui-même, qui a soutenu à Montpellier, en 1923, une thèse intitulée Carrier et sa mission à Nantes, thèse publiée par les Presses universitaires de France : -"La barbarie de ces méthodes frappe vivement nos imaginations mal accoutumées à tant de meurtres ; mais il est hors de doute que les résultats acquis à la fin de nivôse an II en justifiaient la dureté.
……..Pour lui il "est certain que ce furent les Blancs qui commencèrent et que les bleus ne firent, en les exécutant, que se défendre". Récemment, certains auteurs n’ont d’ailleurs pas hésité à affirmer que, s’il y eut génocide en Vendée ce fut contre les Bleus.

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On pourrait prendre le discours de ce maire Vendéen de la Remaudière comme résumé ou comme préambule tellement il décrit parfaitement l’Histoire :
En 1793, face au régime liberticide de la Convention, le sud de la Loire se soulève. S'ensuit une guerre fratricide qui s'étale de mars à la fin décembre 1793. Parallèlement, le Comité de salut public, sous l'égide de Robespierre, fait voter (lois des 1er août et octobre 1793) et met en œuvre un plan d'anéantir serrent et d'extermination de la région de type proto-industriel Trois phases sont à distinguer: une phase scientifique avec ¬l'essai d'utilisation de gaz, de poison et de mines anti personnelles ; une phase artisanale avec les noyades, dont celles de Nantes, les décollations avec la guillotine, les sabrages, les exécutions par balle, l'éclatement des crânes... ; une phase pragmatique suite à l'échec patent de ces expériences. Dans ce cadre, le Comité sollicite le recours de l'armée de l'Ouest commandée par le général Turreau. Les 17 et 24 janvier, celui-ci propose un plan d'extermination et d'anéantissement qui s'appuie sur trois structures : les colonnes infernales, une flottille sur la Loire et un Comité de subsistances. Le 8 février, le Comité de salut public lui donne son accord. L'armée se met en marche le 21 janvier 1794 et massacre le canton du Loroux¬-Bottereau à deux reprises, les 10 et 17 mars 1794. Nous venons de retrouver par hasard la liste des habitants de La Remaudière qui, dans le cadre de ce « populicide » selon l'expression contemporaine, ont été massacrés ainsi que celle de l'habitat détruit…………

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Les causes profondes de l’insurrection sont à chercher dans la réforme autoritaire du clergé et la levée en masse de 300 000 recrues pour aller faire la guerre aux nations voisines. Elles constituèrent l’étincelle qui provoqua l'explosion. Pourtant le mécontentement était plus ancien et il avait pour origine la haine opposant le paysan au bourgeois. Un clivage social entre les urbains et les ruraux, antérieurs à la Révolution qui augmenta avec celle-ci. En effet, la Révolution avait fait naître de grandes espérances chez les paysans, mais en Vendée les métayers étaient majoritaires et ne purent bénéficier de l’abolition des droits féodaux. Les terres rachetables ou "biens nationaux"- jusqu'en 1793, profitèrent essentiellement aux bourgeois et aux marchands et non aux paysans métayers qui les cultivaient. Qui plus est, ces nouveaux venus avaient tendance à accaparer le pouvoir politique local suscitant des oppositions et exacerbant les haines paysannes.
Plus récemment des historiens contemporains ont affirmé que les paysans sont passés à la Contre-révolution, selon les régions ou différentes zones de la Vendée pour les raisons citées ci-dessus, mais d’autres sont venues s’y ajouter : Les atteintes de la Constitution civile du clergé, à la liberté des communautés religieuses. Les vendéens, profondément croyants, défendaient leur prêtre et leurs cérémonies religieuses. Les mots d'ordre, religieux et de la défense communautaire, devinrent communs. (Curieusement les catholiques espagnols emploieront les mêmes mots en 1936 : Vive le Christ roi ! ) Les tensions montèrent jusqu'en mars 1793, sans trouver d'exutoire. La levée en masse fournit l'occasion aux communautés de s'unir contre les agents de l'État dans un mouvement qui renvoie aux jacqueries traditionnelles et de former des bandes à la tête desquelles les élites locales furent placées, de plus ou moins bon gré. Charrette, par exemple, y fut contraint par la force. »
Si le soulèvement se produisit partout en même temps rien n’autorise à penser qu'il fut concerté. Par contre on s’aperçoit que les paysans n’agissaient en royalistes, ni en partisans de l'Ancien Régime. (Quand Louis XVI fut guillotiné le 21 janvier 1793 aucun des vendéens n’avait bougé). Les nobles n’en furent pas non plus les instigateurs. D’abord surpris par le soulèvement et son ampleur, ils finirent par l'exploiter pour eux-mêmes, mais n’en étaient pas à l’origine.
Selon les historiens, il y eut trois guerres de Vendée.
La première, qui dura de mars à décembre 1793, fut une révolte générale qui connut une série de succès militaires inattendus et inespérés venant d’une "armée" de paysans ni connaissant rien à la guerre et, à leur tête, des chefs pour la plupart totalement inexpérimentés. Des paysans qui, après chaque bataille, retournaient dans leurs champs ou allaient soigner leurs bétails. Une armée de 25 000 paysans-soldats qui se plaça sous les ordres du voiturier Cathelineau, du garde-chasse Stofflet, et des aristocrates Bonchamps , d'Elbée, Charette, La Rochejaquelein, Lescure ou Talmont et d’autres.
Les historiens pro "bleus" en profitent pour attirer l’attention sur la violence des massacres commis par les vendéens ce qui "justifierait" ou "excuserait" à leurs yeux, inconsciemment ou pas, les horreurs perpétrées par les républicains par la suite.
Après une série de succès, cette "armée" échoua devant Nantes. Le 9?juin 1793, les Vendéens avaient pris Saumur mais ne marchèrent pas sur Paris où le pouvoir commençait à prendre peur. Les bataillons de volontaires républicains ou "bleus" fuyaient devant ceux que l’on désignait du nom de "brigands". La Convention décréta que les insurgés et le pays des insurgés devaient être détruits "par le fer et par le feu". Pendant l’été, elle envoya des troupes bien rôdées et commandées par des hommes qui vont se révéler d’une férocité incroyable. Vaincue à Cholet le10 octobre 1793, la "Grande Armée catholique et royale" passa la Loire à Saint-Florent-le-Vieil et marcha vers le Cotentin, espérant des secours. Elle n’en recevra aucun, pas même ceux des chouans. Déjà tenue en échec devant Granville, elle fut anéantie au Mans. Le retour fut une succession de défaites et, le 23 décembre, les survivants furent massacrés près de Nantes. Sur les 60 000 à 80 000 Vendéens partis, quelques milliers seulement revinrent et les derniers insurgés furent massacrés à Savenay le 23 décembre 1793. .
Cette guerre se termina par un terrible bilan : plus de 100 000 morts.


La deuxième guerre, si on peut appeler cela une guerre, fut une féroce répression menée par les "colonnes infernales" et subie par la population vendéenne. Ce génocide, mot qui est utilisé actuellement pour donner un nom à ces actes, n’existait pas encore. Le mot utilisé par le Comité de Salut Public à ses généraux était "extermination". Ce terme on le retrouve dans tous les ordres qu’il donna : Extermination par incendies, massacres, empoisonnement par "gaz" et arsenic. Le représentant Carrier en mission était chargé du contrôle et de l’exécution de ces ordres (principalement pour les noyades en Loire). Les douze colonnes ravagèrent le pays de janvier à mai?1794 étaient sous les ordres de Turreau qui restera tristement célèbre dans l’Histoire de la Vendée. Elles rasèrent tous les ¬villages rencontrés, empoisonnant les sources et les puits, détruisant et brûlant les maisons, les fermes, les bois et forêts, pillant les récoltes, détruisant celles qui n’étaient pas encore mûres afin de priver la population de nourriture ; cherchant chaque fois des moyens plus "efficaces" et moins coûteux pour débarrasser la Révolution de tous ces "brigands". C’est ainsi qu’après avoir coulé les embarcations chargées de vieillards, femmes et enfants, il pensa s’en servir comme un peu comme les futures chambres à gaz, en enfermant le maximum de personnes dedans et en bouchant toutes les prises d’air. Les malheureux mourraient étouffés en quelques heures. Puis on pensa à les attacher, nus, deux par deux et les jeter par-dessus bord. Et ceux qui ne se noyaient pas assez vite, étaient assommés à coups de grandes perches :

La troisième guerre de Vendée, concernait davantage les chouans. Ce furent plutôt des guérillas menées par La Rochejaquelein, Charette et Stofflet qui pensaient trouver des renforts parmi les émigrés à Quiberon. Espoirs qui se révélèrent vains. Les guerres de Vendée se terminèrent en 1796, on pourrait dire faute de combattants.

Voici quelques passages du livre de Secher : "Vendée, du génocide au mémoricide. Edition Cerf 2011".

Peu avant la fin (de la guerre) le Général Westermann écrivit au Comité de Salut Public:

Il n’y a plus de Vendée. Citoyens républicains, elle est morte sous notre sabre libre avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais et dans les bois de Savenay. Suivant les ordres que vous m’avez donnés, j’ai écrasé les enfants sous les pieds des chevaux, massacré les femmes qui, au moins, pour celles-là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. Un chef de brigands nommé Désigny, a été tué par un maréchal de logis. Mes hussards ont tous à la queue de leurs chevaux des lambeaux d’étendards brigands. Les routes sont semées de cadavres. Il y en a tant que sur plusieurs endroits ils font pyramide. On fusille sans cesse à Savenay car à chaque instant il arrive des brigands qui prétendent se rendre prisonniers.

Voici un passage de la plaidoirie de l’avocat Tronçon-Ducoudray pendant le procès de Carrier :

Vous voyez ces femmes, ces mères malheureuses précipitées dans les flots avec leurs enfants. L’enfance, l’aimable enfance devient l’objet de la plus incroyable rage. Un crime que les fureurs de la guerre rendent à peine croyable, est commis dans Nantes armée pour la patrie. Des enfants de 10, de 5, de 2 ans, des enfants à la mamelle sont massacrés ou noyés. Je vois ces infortunés tendant vers leurs bourreaux leurs bras innocents, leur souriant sur le sein qui les porte et dont un bras féroce les arrache. Je les vois se débattre aux cris de leur mère qui les appelle encore. Je vois le fleuve rapporter sur les bords une femme tenant encore son enfant mort sur son sein, une fille entrelacée autour de sa mère. Je passe sur la place où est l’instrument de supplice. Je vois un enfant de 13 ans sur l’échafaud ; il dit à l’exécuteur ce mot déchirant : « me feras-tu bien du mal ? » il est lié sur la planche dont la proportion indique à ces barbares que la justice n’y attache pas les enfants. Son corps atteint à peine la ligne qui répond à la direction du couteau….ailleurs ce sont des hommes, des femmes ou des enfants que l’on fusille ou que l’on déchire à coups de sabres et de baïonnettes. (

 Marie Trichet raconte le massacre des Petit et Grand Lucs:
Au bout d'un moment, monsieur le Curé revient vers nous. Il était pâle, il sanglotait : « Ah ! Les misérables ! criait-il. Ah ! les malheureux ! Mon Dieu, miséricorde ! » Il venait de trouver cadavre de la vieille fille Biron. Les scélérats de Bleus l’avaient surprise dans son lit. Après l'avoir rouée de coups, l'avaient portée, enveloppée dans sa couverture, dans le petit pré à côté. Puis, à coups de sabre, ils lui avaient coupé un pied, puis l'autre pied, puis les mains, puis le cou, puis ils l'avaient percée avec leurs baïonnettes. C'était bien elle qui avait poussé ces cris affreux que nous avions entendus la nuit. Voilà que les hommes arrivent au même moment. Ils apportaient le corps du petit de quatre ans que sa malheureuse mère avait délaissé dans sa fuite. Les Bleus l'avaient attrapé ; ils lui avaient percé la gorge avec un sabre et passé un bois dans le trou, puis ils avaient planté, en place de barrière, sur le bord du chemin. Dans sa petite main crispée par les tortures de la mort, ils avaient mis un papier où ils avaient écrit “vive la république”.
A cette vue, les hommes reculèrent d’abord d’épouvante. Est-il possible qu’il ait sur terre des monstres pareils? Quel tort un enfant pauvre âgé de quatre ans pouvait-il causer à la République?
Là, trois femmes tombèrent sans connaissance. L’un des gars présents qui était parrain du petit martyr, prit le corps sur ces genoux jusqu’au moment de l’ensevelir. Après un moment, les hommes amenèrent la malheureuse mère, qu’ils rencontrèrent avec la petite, blottie derrière la grange. Elle ne parlait pas. Elle paraissait tout effarée. On lui cacha le corps du petit et elle sembla ne rien comprendre, à ce qu’il paraît. Elle était devenue folle.


Cinq cents enfants des deux sexes, dont les plus âgés avaient quatorze ans, sont conduits au même endroit pour y être fusillés. Jamais spectacle ne fut plus attendrissant et plus effroyable ; la petitesse de leur taille en met plusieurs à l'abri des coups de feu ; ils délient leurs liens, s'éparpillent jusque dans les bataillons de leurs bourreaux, cherchent refuge entre leurs jambes qu'ils embrassent fortement en levant vers eux leur visage où se peignent à la fois l'innocence et l'effroi. Rien ne fait impression sur ces exterminateurs ; ils les égorgent à leurs pieds ; d'autres parviennent à s'écarter de ces bataillons de la mort: des soldats se détachent et le plomb arrête leur course en les renversant sur la poussière : des cavaliers les atteignent et les massacrent ; les plus proches sont assommés par ces cannibales. La vigueur de l'âge les fait relever plusieurs fois sous les coups de crosse qu'on leur assène ; autant de fois ils sont renversés jusqu'à ce qu'ils soient privés de la lumière. Malheureux enfants, ils appellent à haute voix leur père, leur mère à leur secours. Hélas! Ils ne sont plus. La nature est muette pour eux. L'humanité ne peut se livrer à ses heureux sentiments. La mort attend ceux à qui elle inspire le plus léger mouvement : un soldat perd connaissance à la vue de ce spectacle horrible. Le fer achève de le plonger dans les ténèbres. Un officier ose demander grâce. Il est traduit au milieu de ces groupes d'enfants et fusillé avec eux.

Ordres données pour s'occuper des vendéens au Mans:
Citoyens ! Tuez ! Tuez! Massacrez ces bêtes féroces ! Détruisez ces germes de la peste ! Exterminez ces fanatiques que sont les brigands de la Vendée ! Purgez la terre de cette race infâme! Anéantissez ces scélérats et leurs prêtres séditieux ! Saisissez-vous de leurs femmes ! Écrasez les enfants! Emparez-vous des dépouilles de tous ces êtres perfides! Soyez sans pitié ! La République vous y engage ! En agissant de la sorte vous servez l'intérêt supérieur et vous défendez la patrie ! N'oubliez pas, citoyens, que ce ne sont pas des hommes que vous avez en face de vous mais des animaux nuisibles qui troublent la tranquillité publique.

Et voici une "petite" incitation à la haine. Devinez qui put prononcer cette phrase ? : lorsque l'on trouve un nid de vipères, on écrase la mère ..et les petits. C'est donc avec une totale indifférence que des nourrissons, enfants et jeunes adolescents se voient passés au sabre par les impitoyables  hussard qui s'escrime également à transpercer les ventres de leurs scélérates de mères lorsque celles-ci se trouvent dans l'incapacité de cacher leurs grossesses. Cette phrase imprégnée de l'amour enseigné dans l'Evangile venait directement d'un curé. Eh oui ! de Coutelle, curé de Dollon, mais curé constitutionnel tout à fait acquis aux principes révolutionnaires. Imaginons ce que seraient ses prêches lors des célébrations de messe. Comment un être humain peut-il en arriver à une telle contradiction avec les enseignements reçus ?

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On va même jusqu’à récupérer la graisse liée à la fonte des corps pour les hôpitaux comme le raconte un des soldats du général CROUZAT , en mai 1829, à la comtesse de la Bouëre à qui il avoue avoir
"fait fondre", le 6 avril 1794, cent cinquante femmes pour avoir leur graisse :

Deux de mes camarades étaient avec moi pour cette affaire. J’en envoyais dix barils à Nantes. C’était comme de la graisse de momie : elle servait pour les hôpitaux. Nous avons fait cette opération à Clisson, vis-à-vis du château et près de la grenouillère. Nous faisions des trous de terre pour placer les chaudières afin de recevoir ce qui tombait ; nous avions mis des barres de fer dessus et placé les femmes dessus, puis au dessus encore était le feu.

Et il y d’autres cas comme cela. A Angers il y eut des cas de tannerie de peau humaine. Un témoin, Claude-Jean HUMEAU déclare au tribunal d’Angers, le 6 novembre 1794 :
Le nommé PECQUEL, chirurgien-major du 4eme bataillon des Ardennes en a écorché trente deux. Il voulut contraindre Alexis Lemonier, chamoiseur aux Ponts-de-Cé, de les tanner. Les peaux furent transportées chez un nommé Langlais, tanneur, où un soldat les a travaillées. Ces peaux sont chez Prud’homme, manchonnier.

Le 31 mai 1852, un témoin oculaire, le berger Robin, raconte à l’historien Victor Godart-Faultrier qui enquête sur cette question, que les cadavres étaient écorchés à mi-corps parce qu’on coupait la peau au-dessous de la ceinture, puis le long des cuisses jusqu’à la cheville des pieds de manière qu’après son enlèvement le pantalon se trouvait en partie formé ; il ne restait plus qu’à tanner et à coudre.

Un soldat, rencontré en mai 1829 à la Flèche, avouera à la comtesse de la Bouëre avoir fait la même opération à Nantes et avoir vendu douze peaux à la Flèche . En cela, ces hommes ne font que suivre SAINT-JUST qui, dans un rapport en date du 14 août 1793 à la Commission des moyens extraordinaires, déclare :
On tanne à Meudon la peau humaine. La peau qui provient d’hommes est d’une consistance et d’une bonté supérieure à celle des chamois. Celle des sujets féminins est plus souple, mais elle présente moins de solidité.

Le général Danican, hurle son dégoût, précise que cette tannerie se situait au sein du château :
Quel est le peuple de l’Europe qui ne prend pas pour une fable l’établissement de la tannerie de peau humaine à Meudon ? On se souvient cependant qu’un homme vient à la barre de la Convention annoncer un procédé simple et nouveau pour procurer du cuir en abondance ; que le Comité de salut public (de Carnot) lui accorda l’emplacement du château de Meudon dont les portes furent soigneusement fermées et qu’enfin BARERE, VADIER, et autres furent les premiers qui portèrent des bottes faites de cuir humain. Ce n’était pas au sens figuré que ROBESPIERRE écorchait son peuple ; et comme Paris fournissait des souliers aux armées, il a pu arriver à plus d’un défenseur de la patrie d’être chaussé avec la peau de ses parents et amis. Convention nationale, il y a eu une tannerie de peau humaine et c’est à ton existence qu’on doit une conception aussi monstrueuse

Le Comité de salut public ne manque aucune occasion pour saluer l'œuvre accomplie dans ce sens :

Une œuvre aussi rapide dans le système de dépopulation était trop conforme aux vues du Comité de salut public pour que Carrier n'en fût récompensé par les éloges de ses dignes collègues : “Courage, mon brave ami, lui écrit Hérault de Séchelles, voilà comme on marche, j'ai lu ta lettre au Comité de salut public qui en a entendu la lecture avec satisfaction “ .

Barère lors de la séance du 8 nivôse (28 décembre) lit « un courrier de Vendée par des soldats composant les armées de l'Ouest, de Brest et de Cherbourg du 3 nivôse [23 décembre] : Les brigands que nous avons chassés de la Vendée ne la reverront jamais; ils n'existent plus. "Hommes, femmes, marquises, comtesses, tout est tombé sous le glaive que vous nous avez remis".

Dans une lettre envoyée au général Jean Dem¬barrère : -Tuez les brigands au lieu de brûler les fermes, faites punir les fuyards et les lâches et écrasez totalement cette horrible Vendée [...] Combine avec le général Turreau les moyens les plus assurés de tout exterminer dans cette race de brigands.

Cette assimilation entre Vendéens et brigands est reprise en permanence par tous les généraux républicains proches du pouvoir comme le général Louis Grignon, chef de la première colonne, qui donne pour consigne à ses soldats : Camarades, nous entrons dans le pays insurgé. Je vous donne l'ordre de livrer aux flammes tout ce qui sera suscep¬tible d'être brûlé et de passer au fil de la baïonnette tout ce que vous rencontrerez d'habitants sur votre passage. Je sais qu'il peut y avoir quelques patriotes dans ce pays, c'est égal, nous devons tout sacrifier.

Si les morts n'ont jamais existé, il est évident qu'on ne peut les constituer en tant que victimes pas plus que leurs descendants qui, d'ailleurs, ne sont les descendants de personne. Plus grave, l'entreprise génocidaire perpétrée par la Convention a été relayée par ceux qui se croyaient ses héritiers naturels, comme le régime de Louis-Philippe ou la Troisième République, mais aussi par les descendants des victimes, qui se sentent obligés d'adhérer au même discours, comme si ces héritiers ne pouvaient survivre qu'en devenant des bourreaux.

Le cas de Georges Clemenceau est flagrant. Rappelons que Clémenceau est né le 28 septembre 1841 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée). Le 29 janvier 1891, à la suite à l'interdiction de la pièce de Victorien Sardou, Thermidor, jouée au Théâtre français et jugée "anti-républicaine" car hostile à la Terreur, il déclare à la Chambre des députés :

-"J'approuve tout de la Révolution. J'approuve les massacres de Septembre où pour s'éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts. J'approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronienne, avant d'être jetées dans la Loire, avaient à la fois l'angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée. J'approuve les horreurs de Lyon où on attachait des enfants à la gueule des canons et les égorgements de vieillards de quatre-vingt-dix ans et de jeunes filles à peine nubiles. Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu'on y touche. Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l'État, un dramaturge illustre vienne, après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage aux mânes augustes de Robespierre et de Marat.

2. Pierre MIQUEL, La Troisième République, Paris, Fayard, 1989, p. 347.

C’est là que l’on peut dire : -Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m’as-Tu abandonné ?

En animalisant ainsi les Vendéens, on anéantit leur esprit et on les renvoie à la nature ce qui justifie tout, explique tout, autorise tout comme le note Hélène Piralian dans son livre Génocide, disparition, déni
C'est donc toujours à la fois la nature et l'essence même de l'humain en ce qui le constitue qui est visé, au lieu même de l'identité corporelle, de son incarnation, là où l'esprit s'incarne en un corps, c'est-à-dire prend sens humain. Cette réduction du corps humain en viande de boucherie, ces mises en scène répétitives de cannibalisme, d'anthropophagie, mais aussi d'in¬cestes forcés et de nécrophilie, sont comme autant de manières de déchoir le corps humain de son statut d'humain. On peut voir aussi des variantes de cette déshumanisation du corps dans l'utilisation de celui-ci comme matière première de biens de consommation : production de savon avec la graisse des corps, pantalons fabriqués avec des peaux humaines écorchées, comme ce fut le cas au moment de la Terreur en Vendée, pantalons dont Saint-Just disait qu'ils étaient plus doux que ceux faits en peaux de chamois. Mais cette destruction du corps comme lieu signifiant d'incarnation, si elle a pour objet les morts, opère, pour les survivants, un acte de déliaison généa¬logique d'avec ces morts annihilant le champ symbolique du langage au profit du seul meurtre.
Pour Hélène Piralian, il est évident que « l'on retrouve au centre de tout projet génocidaire la volonté de déshumaniser le corps humain, de le réduire à n'être que viande de boucherie insignifiante ». Ainsi nous parle-t-elle de ce personnage de D. Donikian dans Le Peuple haï 3 qui, en devenant boucher, déplace conjuratoirement cet acte de dépeçage de l'homme à l'animal, comme si l'agir d'une scène où c'est un animal réel qui est l'objet du meurtre maintenait l'autre scène, celle de l'égorgement des enfants dont il a été le témoin, à distance... Ainsi se plonge-t-il dans la viande réelle, animale, pour main¬tenir en acte sa séparation, sa différence d'avec le corps humain. Cette viande que je coupe n'est pas moi. Cet animal que je tue n'est pas un homme.


La révolution de 1789 paraît juste et nécessaire à l'ensemble des Français. Non seulement l'Ancien Régime ne fonctionne plus, mais il s'est condamné en refusant toute adaptation ou évolution entreprise par un certain nombre de nos voisins, anglais ou hollandais, comme l'a si bien décrit et analysé François Furet 3. Le roi et les principaux responsables politiques, religieux et économiques en ont d'ailleurs pleinement conscience, d'où la valse des ministres, des réformes et des contre-réformes dans tous les domaines. Mais que peuvent-ils faire face aux intérêts des ordres, des corporations et des Grands du royaume?
Alors pourquoi la révolte d'une bonne partie du peuple contre cette révolution tant souhaitée? La réponse est simple parce qu'évidente, même si elle dérange : les nouveaux dirigeants ont trahi et se sont trahis eux-mêmes, d'où la rupture entre les Français et l'État incarné par le roi, qui se consume à partir du moment où le contrat les liant est brisé. Comme l'a cerné François Furet, les nouveaux politiques ont confisqué la révolution en marche à leur seul profit, s'accordant des privilèges exorbitants et imposant par la force des principes nouveaux porteurs de haine et de division, comme l'interdiction de croire et de commercer sous le couvert d'une volonté nationale verrouillée qu'eux-mêmes ont votée et que seuls ils peuvent faire évoluer. Le contact est alors non seulement rompu, mais la résistance devient un droit et même un devoir, comme en leur temps l'ont proclamé saint Thomas d'Aquin ou John Locke. C'est là le paradoxe de la Révolution française et la contradiction entre la théorie et la pratique. Si l'égalité est le fondement sur lequel s'appuie la bourgeoisie pour mettre à bas la monarchie, celle-ci "s'est bientôt révélée si incapable d'assumer l'annonciation démocratique de 1789 que l'idée révolutionnaire elle-même est passée chez ses adversaires (les Jacobins)' ". Cette tyrannie égalitariste jacobine est à l'origine des révoltes, et notamment de celle de la Vendée, avec les conséquences que l'on sait.
Ces conséquences sont douloureuses et quasi immédiates pour le peuple : ruine matérielle, peur et désespoir. Par réflexe et à défaut d'une autre, il sollicite la seule structure qui semble capable de l'aider et de le secourir : l'Église, qui retrouve ainsi le rôle traditionnel qui était le sien depuis l'effondrement de l'Empire romain.
Sur le terrain, cette volonté de revenir à la "révolution vraie", idéale, ou à défaut à l'ordre ancien perçu comme moins arbitraire, donc plus juste, s'est traduite par des soulèvements massifs et des émeutes ponctuelles un peu partout en France.

Il y a et il y a eu beaucoup de soi-disant "démocrates" qui ont suivi cette logique : -vous avez le droit d’agir et de penser tout ce que vous voudrez…….à condition que vous pensiez comme moi !

 

 


Date de création : 17/05/2012 @ 00:02
Dernière modification : 02/11/2012 @ 14:29
Catégorie : le génocide vendéen
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Roberto Bueria Julian

                     Les chrétiens persécutés

 Persécution en Espagne pendant la II République



La conduite de l'Eglise espagnole pendant la guerre civile est encore et toujours, violemment critiquée.
On l'accuse d'avoir été réactionnaire, hypocrite, fasciste, obscurantiste. Elle aurait été soumise aux puissants et aurait méprisé les pauvres. Immensément riche, elle se serait rangée du côté de la force de peur de perdre ses privilèges.

Pourtant, il suffit d'étudier un peu cette époque pour s'apercevoir que toutes ces critiques ne dépassent pas le stade de la propagande. Elles peuvent facilement être réfutées, une par une.
C'est ce que vous pourrez trouver sur ce site.

Lisez argument par argument. vous comprendrez vite qu'il suffit juste d'un peu de bon sens, pour s'en convaincre.
Puis vous pourez lire  quelques unes des horreurs commises dans la page "le massacre"
 

 

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