Manuel Valls est né à Barcelone en 1962. Dans la Catalogne côté espagnol. Son père et son grand-père étaient catalans. Il est donc catalan, et cela explique beaucoup de ses traits de caractère. Les catalans ont la réputation d’être froids, calculateurs, radins, ambitieux et prêts à tout pour réussir.
Son grand-père était rédacteur en chef d’un journal républicain et catholique nous dit Wikipedia et déjà là il peut y avoir ambiguïté. Bien sûr un citoyen lambda pouvait être républicain et catholique, mais pour un rédacteur en chef d’un journal c’est déjà plus compliqué. Un très bon point quand même : Il avait caché des prêtres persécutés par les trotskistes et les anarchistes pendant la guerre civile espagnole. Rappelons que plus de 8000 prêtres, moines, religieuses furent assassinés pendant cette guerre.
Il aurait pu semer un peu de graines dans la tête son petit fils.
Nous pouvons supposer que le père et le grand-père ont subi la dictature de Franco, alors comment s’expliquer que lui, une fois arrivé au pouvoir, ait un comportement de dictateur.
Car, enfin, quelle différence il y-a-t-il entre le fait de se retrouver en prison pour avoir dit "a bas Franco et son régime", et celui de retrouver persécuté pour avoir raconté quelques blagues. Ces blagues ne plaisant pas au gouvernement et en particulier à monsieur Manuel Valls. Il suffit de voir son visage haineux (voir images) quand il parle de Dieudonné, pour découvrir un dictateur impitoyable qui en a fait son affaire personnelle : - On verra bien qui est le plus fort- semble-t-il dire.
Entre encore ses nombreuses "actions", il faudrait aussi remarquer l’espionnage d’un journaliste pour avoir ses sources d’information. Ce qui est absolument contraire à la loi. Son acharnement contre les manifs pour tous ; la mansuétude envers tous ceux qui font des dégradations d’églises ; des provocations de fémens etc. etc.
En prenant une image, on dit que les enfants maltraités, maltraitent à leur tour leurs propres enfants. Ceux qui ont subi des dictatures deviendraient-ils des dictateurs à leurs tours ?
et dans le même gout...........
La tentation de la dictature
Le pouvoir, devrait avoir pour finalité le bien commun : le service des autres et non pas le service de soi. Or, ce qui corromp le pouvoir, c'est qu'il est tenté d'assurer sa réélection plutôt que de faire progresser le pays. Il recherche la longévité plutôt que la qualité ; le goût de rester plutôt que prendre les bonnes décisions ou rechercher les meilleures solutions quitte à prendre des décisions impopulaires.
Ces tentations sont inhérentes à l'exercice de toute autorité, mais les socialistes y sont d'autant plus soumis aujourd'hui, que ses membres sont sujets à l'emballement et à la précipitation de peur de perdre trop vite ces places qu'ils ont mis si longtemps à gagner.
C’est le souci du « J'y suis, j'y reste » qui augmente l’ardeur qu’ils mettent pour consolider tout de suite leur position en plaçant leurs amis aux postes-clés. Ils ne peuvent pas supporter de voir encore à des places stratégiques, des responsables qui ne soient pas de leur clan.
Rien de ces comportements ne devrait nous surprendre, mais cette fois c’est pire. Ils ont échoué sur tous les fronts : chômage, économie, communication, immigration etc..Ils se sentent rejetés par une énorme majorité d’électeurs. Ils savent que leurs jours comptés et qu’ils ne peuvent même pas rêver d’être réélus. C’est cette raison qui explique cet acharnement à "faire passer" des lois qui leut tienne à cœur, sans se soucier des graves divisions qu’ils créent dans la population.
Mais il y a un domaine où cet abus de pouvoir est encore plus grave : c’est celui de la manipulation et le conditionnement des enfants et des jeunes, principalement par le ministère de l’Enseignement ou celui de la "Justice" relayés par les médias acquis à leur cause.
Nous voyons que la tentation de quadriller l'Etat est complétée par celle de récupérer, sous le masque hypocrite de laïcité, le contrôle et la destruction des valeurs fondamentales. La liberté est gravement en danger. Le socialisme régnant, non content d'occuper le terrain, veut y semer ses idées, en exclusivité, pour les générations futures. Le vernis et l’apparence de démocratie disparaît pour laisser la place à ce qu’a toujours été le socialisme : Une dictature prête à étouffer tous ceux qui ne pensent comme lui.