Nice 14 juillet 2016. Bilan provisoire de l'attentat : 184 morts et plus de 300 blessés dont certains dans un état très graves. La plus jeune victime a 6 mois.
Depuis des années nous subissons les mensonges, les fuites devant les réalités dans le meilleur de cas, si ce n'est la collaboration de nos "élites" avec les ennemis. Ces ennemis sournois et implacables, qui prétendent parler et agir au nom de leur Dieu. Ces ennemis qui cherchent par tous les moyens à détruire la France. Cette France qui les a accueillis. Cette France qui les a sortis de la misère et les a nourris, logés et grassement couvert d'allocations", sans aucune contrepartie.
Les ayatollahs de la pensée qui nous manipulent ont légiféré pour museler le peuple. Dans les temps de Vichy, les lois étaient dictées par ceux qu'on appellera plus tard les collabos. Aujourd'hui, nous subissons la dictature de quelques-uns. Malheur à celui qui veut appeler un chat un chat, la horde de hyènes se jettent sur lui et le déchiquètent avec une rage, une haine sanguinaire qu'ils travestissent hypocritement en humanisme. Et les médias plus conformistes que conformistes, non seulement suivent, mais en rajoutent lâchement, imbécilement en les culpabilisant de je ne sais quels (vrais ou faux) méfaits commis il y a des siècles par nos ancêtres.
Au nom de je ne sais quelle religion laïciste et "droits-de-l'hommistes", il fallait accueillir ces ennemis. Leur but: faire table rase de l'Histoire de France et de ses racines chrétiennes.
Il y a peu encore, madame le Maire de Paris déclarait : "Le ramadan est une fête qui fait partie du patrimoine culturel français. (J'ai honte d'avoir –presque- les mêmes origines) mais ceci n'est qu'un petit exemple parmi tant d'autres
Le ramadan partie du "patrimoine culturel français"?. Mme Hidalgo peut-elle imaginer, pour elle et les autres françaises, la vie sexuelle que subissent les femmes musulmanes pour l'associer au patrimoine culturel de notre pays ?
Est-elle d'accord –pour elle et toutes les françaises- d'interdire que les femmes soient soignées par des médecins hommes?
D'avoir des horaires spéciaux dans les piscines ou salles de sports? Se baigner dans la mer avec de longs vêtements noirs et un foulard ?
De porter le voile pour sortir dans la rue sous peine de se faire lapider? Etc. etc.
D'ailleurs dans son cas personnel elle se serait peut-être fait égorger par des membres de sa propre famille.
Est-elle d'accord avec ces versets : Les hommes sont supérieurs aux femmes à causes des qualités par lesquelles Allah a élevé ceux-ci au dessus de celles-là (4,34)
-Vos femmes sont pour vous un terrain de labour : allez à votre champs comme vous le voudrez (2,223)-
-Une femme ne doit jamais se refuser à son mari, fut-ce sur le bât d'un chameau, sinon elle sera maudite par les anges. En revanche toute femme qui meurt en laissant son mari satisfait d'elle ira au paradis.-
Il ne faut jamais demander un avis aux femmes, car leur avis est nul, même en une matière de la vie quotidienne-
Celui qui touche la paume d'une femme à laquelle il n'a pas d'accès licite, on lui mettra une braise sur sa paume le jour du jugement dernier.
Est-ce que cela fait partie du patrimoine culturel de la France ?
Mais où sont donc les Gisèles Halimi, les Elizabeth Badinter, les femens et d'autres, si promptes à réagir quand il s'agit de la religion catholique. Indignation sélective ? Lâcheté ? En tous cas on ne les voit pas. On ne les entend pas !
Les dirigeants se sont coupés du peuple. Désormais un abîme les sépare. Mais si le "peuple" en a plus que marre, il n'a pas bougé. Il n'a pas bougé à cause de ces lois inventées pour le museler et l'empêcher de penser. Il n'a pas bougé parce-qu'il croyait que cette menace n'était qu'idéologique et culturelle Mais maintenant, nous prenons conscience que nous sommes dans une vraie guerre. Chaque attentat, chaque mort, accumule de nouvelles couches de haine. Les terroristes comptent sur notre couardise et notre lâcheté, mais ils se trompent lourdement. Le jour que le peuple explosera –probablement mené par un nouveau De Gaulle- il sera bien difficile de discerner les bons des méchants, de séparer le bon grain de l'ivraie, et tous paieront les fautes, commises ou non commises.