LE PROSELYTISME MUSULMAN ET LA LOI TAUBIRA
60 %, suivant une source, et 85 % suivant une autre, de la population carcérale en France est de culture musulmane. De ce fait, la radicalisation islamiste, les conditions d’internement font que plusieurs centaines de détenus seraient déjà touchées par le prosélytisme religieux musulman.
Un rapport d’un député de l’opposition, nous apprend que ce prosélytisme est devenu beaucoup plus difficile à repérer. On a donné un nom à cette technique de dissimulation. Elle s’appelle Taqya.
Le rapport d’action anti-radicalisation islamiste préconise plusieurs mesures comme :
-
La création d’Unités spécialisées anti-radicalisation pour les personnes détenues à leur retour du djihad.
-
Sonorisation des prisons.
-
Rétablissements des fouilles.
-
Blocage des portables qui n’auraient pas reçu une autorisation spéciale.
La politique du gouvernement actuel, représenté par madame Taubira fait que ces mesures ne seront jamais appliquées. - "l'essentiel des marges de manœuvre créées par la loi de finances pour 2015 au sein du budget de l'administration pénitentiaire se trouvent, en réalité, absorbées par la mise en œuvre de la «loi Taubira», c'est-à-dire par la volonté de privilégier une approche de «traitement social» des délinquants, en dehors de l'enceinte pénitentiaire", regrette le député Guillaume Larrivé auteur du rapport.
C’est une évidence : dans le cadre d’une "contrainte pénale" suivant la ministre, le maintien en liberté des délinquants ne permet aucun contrôle efficace.
Encore un grave danger pour la France, surtout que la radicalisation islamiste s’exerce sur des citoyens "français" -sur le papier- ce qui ne permet aucune expulsion.