les ayatollahs et les fachos

Alain Finkielkraut, Michel Houellebecq, Michel Onfray ou Éric Zemmour ont longtemps été les seuls à signaler les dangers de l’invasion islamiste. Et encore le faisaient-ils en pesant chaque parole, l’intonation, et leurs les gestes pour ne pas se retrouver devant les juges. Des juges qui les auraient condamnés, non pas sur leurs paroles ou leurs actes, mais sur l’interprétation qu’ils auraient bien voulu leurs donner. Celui qui mettait en garde la France contre cette invasion était forcément de cette extrême droite raciste et xénophobe que tout français politiquement correct doit rejeter dans les ténèbres des pestiférés. Les gardiens de ces nouveaux dogmes, ces nouveaux Torquemada, brandissaient leurs mains jaunes, les touche-pas-à-mon-pote ou les lois votées sous la pression de cette nouvelle grande inquisition.

Les attentats islamistes de Paris et de Bruxelles, ont, pendant un certain temps, fait taire ces ayatollahs[1] de la pensée unique (Certains les ont comparés avec un nouveau clergé « laïc », mais c’est leur faire trop d’honneur) Ils ne pouvaient quand même plus affirmer que les auteurs de ces attentats étaient une richesse pour la France. La réalité allait-elle modifier profondément ce monde de la pensée dominante qui vous envoie au ciel ou en enfer suivant son bon vouloir.

Ces ayatollahs, ont bien essayé de trainer ces philosophes, écrivains ou journalistes devant les tribunaux, de les faire virer de  leurs journaux, leur interdire des plateaux de télévision. Ils ne savaient pas que leurs paroles sont celles que les français attendent et non plus celles de la classe politique qui s’est complètement coupée du peuple. Pour preuve le succès de leurs livres ou l’audience à la télévision.  Les français n’attendaient que ces paroles et, qui plus est, les réseaux sociaux ont dévoilé les énormes subventions que la gauche octroie à ces associations véritables pompes à pognon. Les français ont découvert qui étaient les réactionnaires, les fachos, les racistes, xénophobes. Il fallait ce réveil. Merci Alain Finkielkraut, Michel Houellebecq, Michel Onfray ou Éric Zemmour.

Michel Onfray nous avait dit "La gauche est fascinée par l'islam comme elle l'était par les dictateurs au XXe siècle". On peut ajouter la gauche n’a jamais été démocratique

La gauche a fait du musulman le prolétaire, la victime, le juif du XXIe siècle et le catholique, l’ennemi à abattre. Bien sûr, il est bien plus facile de s’attaquer aux doux desquels on n’attend que quelques timides protestations qu’à ceux qui utiliseront leurs  Kalachnikov pour vous dire que vous les avez offensés. Ni téméraires, ni assez fous !

Les bouffeurs de curés  reconnaissent-ils qu’ils se trompé d’ennemi ? Impossible !  Cette haine est inscrite dans leurs gênes et s’ils se sont tus pendant quelques semaines, ils recommenceront car leur faiblesse  -ou lâcheté- leur dicte de s’attaquer à un ennemi déjà vaincu. Les coups de pieds à l’ennemi au sol ne sont pas  signes de bravoure !

Et pourtant on peut se faire cette réflexion avec ironie. Une question  que "certains" devraient se poser: Croyez-vous que si des membres de Daech faisaient prisonniers Monseigneur Barbarin et notre Mélenchon national –pour ne citer qu'eux- décapiteraient-il l'un et laisseraient-ils l'autre en vie ? Christianophobes réfléchissez un peu ! Car malgré tout ce que l'on a pu faire, la France a des racines chrétiennes.

Reste à savoir si elle veut rester en vie. Et la réponse que nos  élites politiques, intellectuelles, médiatiques, culturelles, artistiques, brandissent est : les droits de l'homme.

On se sert des "droits de l'homme" comme d'une nouvelle religion séculière cherchant à remplacer le Christianisme, mais aussi la "religion" communiste  -qui réclamait la suppression de toute propriété- en prônant  la négation de toute différence entre les humains.»

Citons Georges Lavau qui dit  que "les hauts magistrats" se sont arrogé, en créant des règles nouvelles au nom des principes généraux du droit, une fonction de type prophétique". Les droits de l'homme ne sont plus les droits de l'homme: ils passent de la défense des libertés pour protéger les individus d'un État trop puissant au principe de "non-discrimination" qui empêche l'État de protéger et défendre son peuple menacé d'éviction et de destruction sur son propre territoire.

De son côté le pape nous dit il faut créer des ponts et non des murs. Quelques personnes de droite et surtout de la gauche, mais pas pour les mêmes raisons, ont à peu près la même idée. Mais de Gaulle disait aussi est c'est le bon sens qui parlait : "Quelqu'un qui aime son pays doit agir égoïstement".

Ne serait-il pas plus judicieux d'aider ces pauvres gens –une fois séparés le bon grain et l'ivraie- à rester chez eux que de les parquer dans camps misérables ?

Devrons-nous en arriver un jour  si nous reprenons le cours de l'Histoire "à bouter les "anglais" hors de France, refaire une Reconquista en Espagne avec  l'inquisition correspondante ou une autre guerre mondiale pour "foutre les boches dehors" ?

Les chrétiens doivent résister à tous ces assauts !  Ils ont le drapeau rouge d’un côté,  le croissant et l’étoile d'un autre;  le drapeau noir de Daech avec ses bombes et ses burqas. Mais aussi le drapeau bleu, blanc rouge, plus subtil. Puis et surtout le compas et l'équerre jamais visibles comme les manipulateurs de marionnettes dans les spectacles de Guignol. 

​Les quatre petites vieilles et quelques vieux qui restent dans les bancs des églises  tiendront-elles le coup devant tant d'attaques !

La guerre civile vient.

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