le fascisme en Espagne
L'ESPAGNE EN DANGER
L'Espagne est en grand danger. La gauche qui n'a jamais été un modèle de démocratie, sous le pouvoir de Pedro Sanchez, devient carrément du fascisme.
Le psoe n'est plus le PSOE de ses anciens. La soif de pouvoir du président n'a pas de limite et il est capable des pires infamies pour y parvenir ou y rester. Nous l'avons vu dans la dernière investiture vendre l'Espagne en échange de sept votes qui lui manquait. Il avait promis l'amnistie aux catalans qui avaient organisé un référendum illégal ainsi qu'aux trois mille casseurs des manifestations violentes.
L'amnistie et le référendum promis aux catalans indépendantistes ouvrent la porte au complet démantèlement de l'Espagne pour en faire quelques petits pays indépendants. Le Pays basque l'a déjà demandé, puis suivront la Galice, Valence, les baléares, les Canaries avec comme toile de fond une autre guerre civile. Peu importe Pedro Sanchez continuera au pouvoir pendant quatre ans et si possible placera un proche ensuite.
Son ambition n'a pas de limite pour rester "El Présidente del Gobierno". Il pense déjà à la suite et s'est lancé à avoir le contrôle de toutes institutions.
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Il a déjà le CIS (l'institut national de sondage) dirigé par un de ses fidèles José Felix Tejanos et qui le donne toujours gagnant dans les sondage, sans craindre le ridicule.
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Le tribunal constitutionnel (Tribunal Constitucional) où il a placé deux des siens (dont l'ancien ministre de Justice Juan Carlos Campo et Laura Diez haut placée à la Moncloa) passant par-dessus les trois cinquièmes des votes obtenus par vote, nécessaires.
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Lapsus de Sanchez à une radio publique —et de qui donc dépend la "Fiscalia General del Estado" ? ironisait-il. Il venait de placer une fidèle entre les fidèles Dolores Delgado ex-ministre de la Justice.
(Cet organisme est chargé du contrôle de légalité des lois présentées par le Parlement. Maintenant les lois présentées par la droite sont rejetées et celles de gauche acceptées) Il faut dire aussi que Dolores Delgado est la compagne du fameux juge Baltazar Garzón qui avait la fâcheuse tendance à chercher des poux sur la tête de la droite et oubliait ceux de la gauche.
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RTVE la chaine de télévision publique fut l'une des priorité de l'appétit de pouvoir de Sanchez pour pouvoir contrôler les journaux télévisés. Pedro Sanchez plaça à la tête du Conseil d'Administration son amie Rosa Maria Mateo. Comme le successeur (pourtant socialiste) ne voulut pas se plier au exigences de Sanchez, il fut "démissionné" de suite et remplacé par Elena Sanchez tout à fait docile. Ses pouvoirs lui furent renforcés pour s'adapter à un changement de statut de la chaine.
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L'agence de presse EFE : La célèbre agence de presse espagnole, première en Espagne et quatrième au monde, devait être elle aussi sous son pouvoir. Il y plaça une journaliste de gauche Gabriela Cañas.
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Le CNI (Centro Nacional de Inteligencia) Sánchez s'est chargé de modifier les services secrets -après avoir viré les anciens dirigeants- il y plaça Paz Esteban, mais cette fois à la demande des indépendantistes. La contrepartie en échange, reste inconnue des Espagnols. Toutefois le scandale des écoutes téléphoniques Pegasus (logiciel espion) dont même Sanchez fut victime, fut la fin de la direction de Paz Esteban. Sanchez en profita pour la virer et mettre à sa place Margarita Robles et Fernando Grandes Marlaska, deux de ses ministres.
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L'INE (institut national des statistiques) Depuis que Sanchez a mis le grapin dessus tout va pour le mieux en Espagne ! Quand les statistiques données par cet organisme étaient mauvaises, ça ne plaisait à monsieur le "Presidente". Il n'était pas content. Le directeur Juan Rodriguez Poo "démissionna" ….sans avoir subi de pressions ! Sanchez décida d'y mettre un de ses fidèles Israël Arroyo. Depuis, les statistiques lui sont plus favorables.
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Le CONSEJO DE ESTADO (Conseil d'Etat) cet organisme est chargé d'émettre des rapports sur les affaires importantes et renforcer celles amorcées par le gouvernement. Il fallait, bien sûr, qu'il soit favorable au gouvernement. Sanchez y nomma Magdalena Valerio qui remplaça la vice-présidente de Rodriguez Zapatero : Maria Teresa Fernandez de la Vega déjà mise en place par Zapatero.
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Le Tribunal de Cuentas (tribunal des comptes) en France la Cour des comptes. A l'arrivée de Sanchez au pouvoir, il fallait, bien sûr, une "rénovation" de cette institution qui aurait été gênante pour son gouvernement. En octobre 2021 on força la démission de la bête noire des séparatistes Margarita Mariscal de Gante. Maintenant y siègent un ex-ministre Miguel Sebastian et deux autres socialistes Juan Moscoso et Antonio Cuevas.
On pourrait continuer longtemps.
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C'est ainsi qu'à la Poste il a placé son ami Juan Manuel Serrano son ex-chef de cabinet.
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La direction d'urbanisme et architecture son meilleur ami l'architecte José Ignacio Carnicero.
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L'hippodrome de la Zarzuela son ex-cheffe de presse et amie Maritcha Ruiz Mateos.
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Le réseau électrique un ex-ministre socialiste Jordi Sevilla
Les purges faites par Sanchez contre les gens qui pouvait le gêner dans sa conquête du pouvoir nécessite une autre page comme celle-ci
C'est cela le fascisme ! Le contrôle de tous les postes clé pour le pouvoir et y rester
Date de création : 14/12/2023 @ 19:34
Dernière modification : 19/12/2023 @ 15:54
Catégorie : Pedro Sanchez
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